8 cambriolages sur 10 ont lieu dans la journée, principalement entre 14h et 18h.
Pensez à sécuriser vos biens et votre famille, pour avoir l’esprit libéré en rentrant chez vous.
La réponse est très simple : NON, le devis est gratuit !
Pour éviter les arnaques en serrurerie, il est recommandé de demander un devis à plusieurs professionnels avant de se décider.
L’obtention d’un devis permet d’avoir une idée de tarif du marché pour un certain type de dépannage.
De cette façon, il est possible de comparer les artisans afin de décider de celui qui interviendra pour vous venir en aide.
Pour être sûr de prendre la bonne décision, il faut pouvoir lire correctement de devis de son serrurier.
Les mentions obligatoires sur votre devis
Pour savoir si vous avez affaire à un professionnel sérieux, il est judicieux de vérifier d’abord si toutes les mentions obligatoires figurent sur votre devis.
Qu’il soit rédigé à la main ou envoyé sous format électronique, votre devis doit contenir un maximum de données.
Ces informations doivent être claires et bien présentées afin de vous aiguiller.
Si le devis est évasif ou s’il contient peu de données sur les prestations fournies et le tarif de celles-ci, passez votre chemin !
Vous risqueriez d’avoir de mauvaises surprises au moment de la facture finale.
Votre devis de serrurier doit obligatoirement comprendre les données suivantes :
Bien lire un devis
Lorsque vous signez un devis, vous vous engagez auprès de la société.
Il est donc indispensable de vous assurer de bien comprendre les différents montants inscrits sur celui-ci avant de signer.
Si vous posez toutes les questions nécessaires et que vous obtenez des réponses satisfaisantes de la part du serrurier, vous avez probablement affaire à un devis en règle.
Seul le prix TTC vous indique le montant final que vous aurez à payer.
Pour être sûr que vous n’aurez pas de surprise lors de la facturation, vérifiez que le prix TTC est égal au prix HT additionné de la TVA.
Le prix HT devra, quant à lui, correspondre à la somme du coût de déplacement, de la main d’œuvre et du tarif des pièces de rechange.
Prenez le temps de réfléchir et ne vous pressez pas de signer un devis moins cher.
Mieux vaut vous assurer que vous l’avez compris.
Ce qu’on appelle communément une «Porte claquée» n’a qu’un seul point de fermeture (la porte n’est pas verrouillée à double tour). Si vous arrivez à pousser le pêne demi-tour avec un outil spécial ou avec un morceau de bouteille en plastique ou de radio, il se déverrouillera. C’est une méthode très simple, relativement rapide et sûre. Même une grand-mère peut la gérer !
«Porte fermée à clé» : Ceci est une description générale de la situation.
Le fait est que si votre porte est équipée d’une serrure multipoint, alors il y a déjà beaucoup de points, mais cela ne veut pas dire qu’ils devront être déverrouillés séparément. Tous sont entraînés par un mécanisme et c’est un cylindre merveilleux. Le cylindre est un tel tonneau de secrets qui ne reconnaît que sa propre clé avec sa propre gravure. Les serruriers détruisent simplement le système de reconnaissance des clés et tournent le cylindre avec un tournevis ordinaire. C’est donc une intervention plus complexe que la porte claquée, qui nécessite parfois la destruction et donc le remplacement ultérieur de votre cylindre, c’est-à-dire le changement de la serrure.
«Serrure bloquée» : C’est le plus grand défi pour les serruriers.
Lorsqu’il s’agit d’une « porte fermée à clé », nous forons un cylindre (avec une perceuse) et nous devons parfois surmonter une poignée blindée, mais c’est une tâche très accessible. C’est une tout autre affaire lorsque la serrure est bloquée et que l’on ne sait pas pourquoi et à quel endroit se trouve la panne. Parfois, vous ne savez même pas à quelle serrure vous avez affaire car il n’y a pas d’accès. Le cylindre et la poignée sont détruits en premier. Le défi est d’ouvrir la porte sans compromettre l’esthétique de la porte. Heureusement, dans la plupart des cas, un trou de 20 mm sauve la mise et est complètement invisible derrière la poignée.
Parfois, il faut des heures pour creuser nulle part dans l’espoir que quelque chose se produise. C’est la prestation la plus dure pour les artisans professionnels.
Bien qu’il offre un niveau de sécurité moindre par rapport à une serrure, le loquet reste l’un des systèmes de fermeture les plus utilisés en France.
Qu’est-ce qu’un loquet ? Sur quel type de porte convient-il de l’installer. Voici tout ce qu’il faut savoir pour bien installer un loquet de porte.
Qu’est-ce qu’un loquet ?
Le loquet est un dispositif de fermeture qui s’installe en applique.
Il n’est jamais de deux parties distinctes. L’une est fixée à la porte et l’autre au montant de la porte.
Le dispositif fixé à la porte comporte une barre qui se tire, se pousse ou se bascule.
Lorsque l’on désire verrouiller l’accès, il suffit donc de faire pivoter cette barre pour venir la bloquer sur l’étrier ou le mentonnet situé sur le montant de la porte.
On peut distinguer plusieurs types de loquet :
Où installer un loquet de porte ?
Le loquet est un système de sécurité particulièrement destiné aux portes qui n’ont pas de serrure.
Comme il n’est actionnable que de l’intérieur de la porte, il se placera uniquement sur les portes des locaux qui doivent être fermés de l’intérieur.
Le loquet ne peut être la serrure principale d’une porte d’entrée.
Il peut être ajouté en supplément pour ceux qui souhaitent plus de sécurité en ajoutant un système de verrouillage inaccessible depuis l’extérieur du logement.
Comme le loquet à tendance à rouiller, il est nécessaire de l’entretenir régulièrement.
Surtout s’il est placé dans une pièce humide.
Les loquets, quels qu’ils soient sont souvent placés sur les portes suivantes :
Vous songez à faire installer une serrure à votre porte ? Vous voulez renforcer votre accès principal avec un verrou ?
Si vous ne savez pas quel système de verrouillage choisir, c’est peut-être parce que vous ne connaissez pas la différence entre une serrure et un verrou.
Verrou : le plus ancien type de fermeture
Le verrou est le plus ancien système de sécurité qui existe.
Il est composé de deux parties. Une pièce de métal (un pêne ou une tige) coulisse à l’aide d’un mouvement mécanique pour venir s’insérer dans la gâche correspondante.
Le pêne et le mécanisme sont fixés à la porte, la gâche est ancrée sur le montant de celle-ci. Pour ouvrir un verrou, on utilise généralement un bouton ou une clef.
Certains systèmes utilisent une clé des deux côtés de la porte, d’autres sont pourvus d’un système à clef d’un côté et d’un bouton de l’autre.
Si le verrou s’ouvre des deux côtés de la porte, c’est qu’il est équipé d’un cylindre.
Le verrou n’est jamais intégré, ou encastré, à la porte. Il est fixé sur la porte, du côté intérieur du local à protéger.
Un verrou seul est rarement utilisé pour protéger un accès principal. On l’utilise plutôt pour des portes de garage, des portails, des portes de cave ou les portes de certaines pièces à l’intérieur d’un logement ou d’une entreprise (salle de bains, WC, etc.).
Serrure : le système le plus sûr
La serrure est un type de fermeture à cylindre, se verrouillant à l’aide d’une clef, d’une carte, d’une combinaison ou autre.
Elle comporte généralement un mécanisme plus complexe, bien que similaire, que celui d’un verrou.
On trouve des serrures en applique, fixées sur la porte, et des serrures encastrées, intégrées à la porte.
Ces dernières sont plus difficiles à installer, mais beaucoup plus discrètes.
La diversité des mécanismes de serrure est grande. Il existe des serrures à crochet, batteuses, à crémones, électriques, etc.
Les serrures servent généralement à verrouiller la porte d’entrée d’un logement, d’un bâtiment ou d’un commerce.
Elles sont également utilisées sur les portes de chambres d’hôtels, mais aussi sur certaines portes de pièces à l’intérieur d’un logement.
Le niveau de sécurité de la serrure doit être adapté au type de porte. Sur une porte blindée, une serrure multipoint A2P sera nécessaire.
Sur une porte de salle de bains, une simple serrure à cylindre sera suffisante.
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